Qu'est-ce que vous en pensez vous de l'amour ? 🙂
En fait, ça dépend de l'amour. 🤔
ça dépend des personnes
je pense que c'est une chose merveilleuse
quelque chose ne peut pas être décrit par des mots. c'est aussi comme ça.
Avant tout il faut savoir qu'il y a 2 dimensions dans l'amour . Il y a le sentiment bien sur mais il y a la confiance.
Si on aime quelqu'un mais que la confiance n'y est pas c'est un déchirement parce que le rapprochment n'est pas possible
ENsuite l'amour est un don de soi .et donc Le plus cruel dans l'amour c'est etre très amoureux ou amoureuse de quelqu'un qui ne vous aime pas .
Alors l'amour peut devenir souffrance profonde ...mais en général l'amour c'est ce qui fait vous surpasser et faire des choses qui vous dépassent .
je pense qu'amour logique avec quelqu'un de confiance est merveilleux
Vaste concept… J'aime beaucoup le poème de Gaston Couté (poète bausseron de la fin du XIXème et tout début du XXème siècle) "L'Amour Anarchiste" aussi appelé "L'amour qui se fout de tout" qui a été mis en chanson deux fois, une par Monique Moréli, et l'autre, plus connue, par Marc Robine.
"L'amour anarchiste" alias "L'amour qui se fout de tout" est un poème traitant principalement de l'amour, mais pas que. C'était un poète libertaire (communiste ou anarchiste) qui de ce fait était très engagé. Ce poème-là traite donc un peu des inégalités sociales, mais l'amour reste tout de même au premier plan.
Le gars était un tâcheron
N’ayant que ses bras pour fortune ;
La fille : celle du patron,
Un gros fermier de la commune.
Ils s’aimaient tous deux tant et plus. (bis)
Ecoutez ça, les bonnes gens
Petits de coeur et gros d’argent !
Ecoutez ça ils s’aimaient tant et plus
L’Amour, ça se fout des écus !
Lorsqu’ils s’en revenaient du bal
Par les minuits clairs d’assemblée,
Au risque d’un procès-verbal,
Ils faisaient de larges roulées
Au plein des blés profonds et droits, (bis)
Ecoutez ça, les bonnes gens
Qu’un bicorne rend grelottants !
Ecoutez ça des blés profonds et droits
L’Amour, ça se fout de la Loi !
Un jour, s’en fur(ent) tous deux prier
Elle : son père ! Et lui : son maître !
De les laisser se marier.
Mais le vieux les envoya paître ;
ALors, ils prirent la clé des champs. (bis)
Ecoutez ça, les bonnes gens
Qui respectez les cheveux blancs !
Ecoutez ça ils prirent la clé des champs
L’Amour, ça se fout des parents !
S’en furent dans quelque cité,
Loin des labours et des jachères ;
Passèrent ensemble un été,
Puis, tout d’un coup, ils se fâchèrent
Et se quittèrent bêtement. (bis)
Ecoutez ça, les bonnes gens
Mariés, cocus et puis contents !
Ecoutez ça ils s’quittèrent bêtement
L’Amour, ça se fout des amants !