Salut les gens 😃 Avant d'exposer mon avis sur la situation en France je me présente : Cyril, 20 ans, étudiant en Sciences Po' 😉 La situation est catastrophique. Je m'explique : il y a des zones de non-Droit où la criminalité et la délinquance ont pris le pouvoir et où les forces de l'ordre ne vont plus par manque de moyen et par peur, il y a même des zones où ce n'est pas le Droit français qui est appliqué mais le Droit des fanatiques qui se prétendent musulmans ... En d'autres termes, il y a des territoires que nous devons reconquérir par la force mais aussi spirituellement (je vais développer le côté "spirituel"). Ces zones de non-Droit ne sont cependant qu'un détail, car le plus grand problème qui est la cause du premier problème évoqué est l'ÉTAT et son fonctionnement, mais aussi et surtout l'idéologie qu'il y a derrière : le libéralisme. Tout cela remonte à la Révolution Française : la monarchie qui avait des défauts (la malheureuse révolution avec la Renaissance et la "raison d'État", les nobles touchaient par exemple des privilèges qu'ils ne méritaient plus) mais aussi de grandes qualités (les lois fondamentales du Royaume qui faisaient d'un roi un roi et pas un tyran, le catholicisme qui est une religion qui prône le sacrifice pour autrui, l'amour, la modestie et la raison avec Saint Thomas d'Aquin reprenant Aristote) fut sauvagement détruite par les révolutionnaires/républicains qui ont réussi à s'imposer alors qu'ils étaient MINORITAIRES (sans déconner, lors de la prise de la Bastille ils étaient seulement quelques centaines de personnes, et c'était plus proche de 200 que de 1000 😁). La Révolution française fait place au début du totalitarisme républicain, à de la propagande, et bien sûr à des massacres, surtout envers la population catholique qui était alors majoritaire en France à l'époque (je vous invite à étudier le génocide vendéen où les républicains "recyclaient" les civils et les résistants qu'ils tuaient en faisant avec leur peau des vêtements). Cette révolution n'était ni plus ni moins qu'une révolution bourgeoise et libérale, inspiré de l'idéologie des Lumières qui voient la nature comme étant mauvaise alors qu'autrefois la nature était considérée comme bonne car l'homme a la capacité de raisonner et la capacité d'empathie comme l'expliquait Aristote ou Thomas d'Aquin, qui (les Lumières, toujours) voient les hommes comme des êtres naturellement égoïstes et qui ne pensent qu'à leurs propres intérêts, qui prônent le subjectivisme et le relativisme, à savoir qu'avec eux il n'y a plus de bon ou de mauvais, de juste ou d'injuste, que toutes les opinions se valent : l'égalitarisme et la médiocrité est prônée par eux en plus du matérialisme et l'impossible existence de la responsabilité de l'Homme. Nous pouvons aussi évoquer le racisme de certains philosophes (Voltaire, Adam Smith, Diderot et les encyclopédistes) et le sexisme (Voltaire et Rousseau). Aussi, cette idée de "séparation des pouvoirs" de Montesquieu est bien fausse, d'ailleurs Montesquieu parlait lui-même de "distribution des pouvoirs" et non pas de "séparation des pouvoirs", ce qui est ... Impossible, on le voit aux USA ou même en France où règne une confusion des pouvoirs exécutifs, législatifs et judiciaires. Aussi, le but des philosophes des Lumières (qui ont aussi largement inspiré la révolution américaine) était de mettre en place un régime représentatif avec une ÉLITE qui gouverne. Voltaire a inventé le système éducatif tel qu'on le connait aujourd'hui : l'élite, c'est-à-dire les bourgeois et les libéraux, auront accès à la connaissance car c'est le pouvoir et le peuple qu'il appelait la "populace" (terme péjoratif bien sûr) ne devait surtout pas être éduqué selon lui car trop dangereux ! Bref, je pourrais développer davantage mais restons-en là. L'essentiel est de comprendre que l'État français se revendique toujours héritier de la Révolution Française avec notamment la Déclaration des Droits de l'Homme et du Citoyen. Ah oui, j'oubliais : les Lumières prônaient le positivisme, c'est-à-dire obéir aux lois divines votées par des législateurs à qui se prennent pour des dieux. Eh bien aujourd'hui, pas loupé : notre Droit est positiviste, il n'y a plus de Droit naturel (je vous laisse chercher ce que c'est pour votre bien si vous ne le savez point 😛).
En conclusion : se sera la merde tant qu'on ne combattra pas spirituellement le libéralisme et qu'on ne voudra pas mettre fin au régime républicain totalitaire et moderne tel qu'on le connait aujourd'hui. Ce n'est pas près d'arriver car les gilets jaunes sont de toute évidence pro-républicains avec leurs drapeaux tricolore et leurs Marseillaise à vomir alors que pourtant ils défient l'autorité en place qui est, en passant, illégitime. Les gilets jaunes, c'est, disons-le, le "bug dans la matrice" car paradoxal ahah 😃 Sinon, si vous cherchez des adversaires à ce gauchisme en politique, il n'en existe AUCUN actuellement : RN, les Insoumis, le LR, le PS, ... Ils sont TOUS libéraux (ou appartenant à la variante communiste). Le seul qui a un peu de mérite, c'est François Asselineau parce qu'il combat l'Union Européenne qui est purement libérale et qui est un ancien projet nazi (il suffit juste de regarder la biographie de "Hallstein", le juriste préféré d'Hitler) repris par les américains pour contrôler l'UE durant la Guerre Froide et encore aujourd'hui (financements Ford et Rockefeller, liens avec l'OTAN et l'UE, etc). Le problème avec François Asselineau, c'est qu'il ne traite pas du problème français, il ne traite que le problème européen et c'est pourquoi je ne peux pas voter pour lui 😉
Bref, avoir un type comme Macron en tant que président de la Ve République est bien sûr normal. L'un devrait être en prison à vie avec ses potes politicards de bas étage qui ne servent pas le bien commun, l'autre devrait être détruite, voici mon opinion et je pèse bien mes mots 😉
Alors, en tant que "médecin", je prescrirais une union entre les religieux aristotélisés ou thomistes, peu importe la religion de chacun puisque chaque religion n'est qu'un "chemin différent pour arriver à un même but" pour citer Gandhi, et combattre le totalitarisme républicain libéral ensemble, non pas au nom de l'intérêt général (vomi) ou encore du vivre ensemble (vomi) mais bien au nom du bien commun.